Ainsi, ces “étudiants” d’extrême gauche, sorte de Che Guevara en pyjama rose, ont trouvé un slogan…bravo, mais encore…”nous sommes tous des enfants d’immigrés, 1e, 2e, 3e génération”…combien d’heures d’effervescence intellectuelle a t-il fallu à toutes ces petites victimes issues du 93 ou des quartiers nord de Marseille ? Comme il est prometteur l’avenir politique du pays avec cette fiente de volatiles bourgeois bien à l’abri des dégâts de l’immigration massive tout en s’achetant une conscience généreuse aux frais de la promiscuité réservée au peuple. Ainsi, l’étudiant d’extrême gauche oublie que dans certaines manifs où les casseurs des banlieues sont présents, les coups qu’il reçoit sont donnés par ceux auxquels il veut s’identifier. Car l’étudiant d’extrême gauche veut sa part de misère, il rêve de sa souffrance et de son oppression, il veut réinventer son nazisme soft sans la gestapo, il ne faut pas exagérer non plus car l’été il voyage ce jeune généreux-miséreux. L’étudiant d’extrême gauche, sorte de bouillie vomie qui soulève le cœur de ses parents, “mais enfin mon ami comment ai-je pu accoucher de cet ectoplasme” (d’ailleurs quand c’est une grossesse nerveuse ça donne un antifa mais ça n’est pas la même voie d’évacuation), cet étudiant veut être un résistant, un grand résistant, un sauveur de l’humanité oppressée en danger, n’ayant de cesse, tout au long de sa carrière, de s’essuyer les pieds sur la démocratie…et toujours pour la bonne cause bien entendu.
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