Toute la fine fleur de l’armée polonaise massacrée par les bolchevicks à Katyn ( plus de 20 000), crime mis sur le dos de l’armée allemande.
Ce que dénonça Robert Brasillach qui avait enquêté sur place et qui lui valu certainement d’être fusillé, à la demande des « cocos » alliés du « Grand Charles », sous prétexte de collaboration avec l’ennemi.
Un des plus grands écrivains et poète français du 20ème siècle disparaissait pour avoir osé crier la vérité.
Mais il ne fallait surtout pas mettre en doute la « valeur » et le « courage » des résistants communistes (de la dernière heure… ou presque), ceux-là même qui appelaient en 39 à collaborer avec « nos amis allemands » en placardant des affiches dans tout Paris au nom du pacte germano-soviétique signé entre Staline et Hitler.
Il ne faut jamais manquer de rappeler ce qu’est la gauche, d’où qu’elle vienne.